- Voilà la dernière du jour : un député PS, Madame Colette Capdevielle, membre de la commission des lois, s’il vous plaît…, qui déclare l’assemblée nationale « … et c’est justement la force du droit que de combattre la nature » !
- Au secours, mais ils sont devenus complètement fous !
- Où sont les écologistes, où sont les humanistes ?
- Quel est ce monde que l’on veut nous préparer dans lequel il faudrait à tout prix tordre la nature pour la plier à nos exigences sociétales, réformistes, prométhéennes ?
- Quel est ce législateur qui se croit tout permis ?
- Au nom de quoi, au nom de qui, en vertu de quel pouvoir, allons-nous maintenant froidement, délibérément, à visage découvert, combattre la nature, c’est-à-dire nous combattre nous-mêmes ?
- Cela a un nom. C’est le totalitarisme. Quand on franchit ce cap, tout est possible, tout est permis. L’histoire nous avait pourtant appris que l’horreur est au bout de cette voie. Cette histoire précisément à laquelle les mêmes se réfèrent pour proférer leurs anathèmes et leurs interdictions !...
- Nous sommes en plein délire. Délire produit par l’énervement, par l’impatience, par l’exaspération du fait de la résistance du pays réel, sans doute ; mais délire qui conduit les uns et les autres à tomber les masques, et à révéler le visage horrifiant de ce législateur moderne.
- D’aucuns me diront que le droit s’était déjà et depuis longtemps attaqué à la nature. C’est vrai. Mais il y a dans ce propos, dans sa violence, dans sa froide sincérité, un aveu sans détour de la nature véritable de ce qui l’inspire. Jusque-là, on entendait des propos et des revendications auréolées de leur soi-disant légitimité évolutionniste, sociale, généreuse, sincère même pour certains. Mais là, nous sommes devant le monstre froid. Et en plus il est incarné par une femme ; c’est terrifiant….
- Non décidément on ne peut plus cautionner cet Etat. Face à une pareille violence il faut que les consciences fassent se lever les hommes de bonne foi et de bonne volonté. Il faut proclamer que c’est insupportable, inacceptable, ILLÉGITIME. Tomas More a accepté de mourir pour beaucoup moins que cela… Non, c’est non, un point c’est tout !
Accueil Actualités & rendez-vous Dans l’Eglise et le monde Combattre la nature ? Parole aux terribles conséquences
Combattre la nature ? Parole aux terribles conséquences
- Père Patrice Guerre
- 1er février 2013
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Sur le blog de Bernard Hawadier le commentaire d’une parole entendue à l’Assemblée nationale ...
http://leblogdebernardhawadier.hautetfort.com/archive/2013/01/31/les-masques-tombent.html
