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Retour sur le pèlerinage à Rome et interventions du Pape pour la journée mondiale des familles les 26 et 27 octobre 2013

Les 26 et 27 octobre quelques familles de la paroisse ont eu la joie de pouvoir vivre les journées mondiales des familles à Rome.
En bas de l’article les photos de ce moment exceptionnel !
Retrouvez ici l’intégralité de ce que le Pape a dit samedi 26 octobre des familles, dimanche 27 octobre lors de son homélie et la prière prononcée lors de cette magnifique journée.
Ci-dessous : la magnifique vidéo du petit garçon qui prend place sur le siège du Pape : http://youtu.be/j8zddGRwi60


Discours du pape François aux familles le samedi 26 octobre

  • Chères familles,
  • Bonsoir et bienvenue à Rome !
  • Vous êtes venus de plusieurs régions du monde, en pèlerins, pour professer votre foi devant la tombe de saint Pierre. Cette place vous accueille et vous prend dans ses bras : nous sommes un seul peuple, avec une seule âme, appelés par le Seigneur qui nous aime et nous soutient. Je salue aussi toutes les familles qui sont reliées par la télévision et par l’Internet : c’est une place qui s’élargit sans limites.
  • Vous avez voulu appeler ce moment : « Famille, vis la joie de la foi ». Ce titre me plaît. J’ai écouté vos expériences, les histoires que vous avez racontées. J’ai vu beaucoup d’enfants, beaucoup de grands-parents… J’ai entendu la douleur des familles qui vivent une situation de pauvreté et de guerre. J’ai écouté les jeunes qui veulent se marier malgré mille difficultés. Et maintenant nous nous demandons : comment est-il possible de vivre la joie de la foi, aujourd’hui, en famille ? Mais je vous demande aussi : « est-ce possible de vivre cette joie ou ce n’est pas possible ? »
  • 1. Il y a une parole de Jésus, dans l’Evangile de Matthieu, qui nous éclaire : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos » (Mt 11, 28). La vie souvent est pénible, souvent aussi tragique ! Nous avons entendu récemment... Travailler est pénible, chercher un travail est pénible. Et trouver du travail aujourd’hui nous demande beaucoup d’effort. Mais ce qui est le plus pénible dans la vie ce n’est pas cela : ce qui est plus pénible que toutes ces choses c’est le manque d’amour. C’est pénible de ne pas recevoir un sourire, de ne pas être accueilli. Ils sont pénibles certains silences, parfois aussi en famille, entre mari et femme, entre parents et enfants, entre frères. Sans amour, la peine devient plus pesante, insupportable. Je pense aux personnes âgées qui sont seules, aux familles qui peinent de ne pas être aidées à soutenir ceux qui, à la maison, ont besoin d’attentions spéciales et de soins. « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau », dit Jésus.
  • Chères familles, le Seigneur connaît nos fatigues : il les connaît ! Et il connaît les poids de notre vie. Mais le Seigneur connaît aussi notre profond désir de trouver la joie du repos ! Vous vous rappelez ? Jésus a dit : « que votre joie soit complète » (Jn 15, 11). Jésus veut que notre joie soit complète. Il l’a dit aux apôtres et il nous le répète aujourd’hui. Alors, ceci est la première chose que, ce soir, je veux partager avec vous, et c’est une parole de Jésus : Venez à moi, familles du monde entier – dit Jésus – et je vous donnerai le repos, afin que votre joie soit complète. Et cette parole de Jésus, portez-la chez vous, portez-la dans votre cœur, partagez-la en famille. Il nous invite à venir à lui pour nous donner, pour donner à tous la joie.
  • 2. La seconde parole, je la prends du rituel du Mariage. Celui qui se marie dans le Sacrement dit : « Je promets de te rester fidèle, dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, et de t’aimer tous les jours de ma vie ». Les époux, à ce moment, ne savent pas ce qui arrivera, ils ne savent pas quelles joies et quelles peines les attendent. Ils partent, comme Abram, ils se mettent en route ensemble. Et c’est cela le mariage ! Partir et marcher ensemble, main dans la main, s’en remettant entre les mains du Seigneur. Main dans la main, toujours et pour toute la vie ! Et ne pas prêter attention à cette culture du provisoire, qui morcèle notre vie !
  • Avec cette confiance en la fidélité de Dieu on peut tout affronter, sans peur, avec responsabilité. Les époux chrétiens ne sont pas naïfs, ils connaissent les problèmes et les dangers de la vie. Mais ils n’ont pas peur d’assumer leurs responsabilités, devant Dieu et la société ; sans s’échapper, sans s’isoler, sans renoncer à la mission de former une famille et de mettre au monde des enfants. – Mais aujourd’hui, mon Père, c’est difficile…–. En effet, c’est difficile. C’est pour cela que la grâce est nécessaire, la grâce que nous donne le Sacrement ! Les Sacrements ne servent pas à décorer la vie - mais quel beau mariage, quelle belle cérémonie, quelle belle fête !... Mais ce n’est pas le Sacrement, ce n’est pas la grâce du Sacrement. C’est une décoration ! Et la grâce ne sert pas à décorer la vie, elle sert pour nous rendre forts dans la vie, pour nous rendre courageux, pour pouvoir avancer ! Sans s’isoler, toujours ensemble. Les chrétiens se marient dans le Sacrement parce qu’ils ont conscience d’en avoir besoin ! Ils en ont besoin pour être unis entre eux, et pour accomplir leur mission de parents. « Dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie ». Ainsi disent les époux dans le Sacrement et dans leur Mariage ils prient ensemble et avec la communauté. Pourquoi ? Parce qu’on a l’habitude de faire comme cela ? Non ! Ils le font parce qu’ils en ont besoin pour le long voyage qu’ils doivent faire ensemble : un long voyage qui ne s’effectue pas par bout de chemin, mais dure toute la vie ! Et ils ont besoin de l’aide de Jésus pour marcher ensemble avec confiance, pour s’accueillir l’un l’autre chaque jour, et se pardonner chaque jour ! C’est important ! Savoir se pardonner en famille, car tous nous avons des défauts, tous ! Parfois nous faisons des choses qui ne sont pas bonnes et font mal aux autres ! Avoir le courage de s’excuser, quand nous nous trompons en famille… Il y a quelques semaines, sur cette place, j’ai dit que pour conduire une famille, il est nécessaire d’utiliser trois mots. Je veux le répéter. Trois mots : permission, merci, excuse. Trois mots clés ! Nous demandons la permission afin de ne pas être envahissants en famille. « Puis-je faire cela ? ça te plaît que je fasse cela ? ». Par le langage de la demande de permission. Nous disons merci, merci pour l’amour ! Mais dis-moi, combien de fois, par jour, tu dis merci à ton épouse, et toi à ton époux ? Combien de jours passent, sans que tu ne dises ce mot : merci ? Et le dernier : excuse. Tous nous nous trompons et parfois quelqu’un est offensé dans la famille et dans le mariage, et quelquefois – je dis – les assiettes volent, on se dit des paroles violentes, mais écoutez ce conseil : ne pas finir la journée sans faire la paix. La paix se refait chaque jour en famille ! « Excusez-moi », voici, et on recommence. Permission, merci, excuse ! Nous le disons ensemble ? (ils répondent : « oui »). Permission, merci et excuse ! Vivons ces trois mots en famille ! Se pardonner tous les jours.
  • Dans sa vie, la famille connaît beaucoup de beaux moments : le repos, le repas ensemble, la sortie dans le parc ou à la campagne, la visite aux grands-parents, la visite à une personne malade… Mais s’il manque l’amour, il manque la joie, il manque la fête, et l’amour c’est Jésus qui nous le donne toujours : il est la source inépuisable. Là, dans le Sacrement, il nous donne sa Parole et il nous donne le Pain de la vie, pour que notre joie soit complète.
  • 3. Et pour terminer, devant nous cette icône de la Présentation de Jésus au Temple. C’est une icône vraiment belle et importante. Contemplons-la et faisons-nous aider par cette image. Comme vous tous, les protagonistes de la scène ont leur histoire : Marie et Joseph se sont mis en marche, pèlerins vers Jérusalem, par obéissance à la Loi du Seigneur ; de même le vieux Siméon et la prophétesse Anne, également très âgée, arrivent au Temple poussés par l’Esprit Saint. La scène nous montre cet entrelacement de trois générations, l’entrelacement de trois générations : Siméon tient dans ses bras l’enfant Jésus dans lequel il reconnaît le Messie, et Anne est représentée dans le geste de louange de Dieu et d’annonce du salut à ceux qui attendaient la rédemption d’Israël. Ces deux personnes âgées représentent la foi en tant que mémoire. Mais je vous demande : « écoutez-vous les grands-parents ? Ouvrez-vous le cœur à la mémoire que nous donnent les grands-parents ? Les grands-parents sont la sagesse de la famille, ils sont la sagesse d’un peuple. Et un peuple qui n’écoute pas les grands-parents, est un peuple qui meurt ! Écouter les grands-parents ! Marie et Joseph sont la Famille sanctifiée par la présence de Jésus, qui est l’accomplissement de toutes les promesses. Toute famille, comme celle de Nazareth, est insérée dans l’histoire d’un peuple et ne peut exister sans les générations précédentes. Et c’est pourquoi, aujourd’hui, nous avons ici les grands-parents et les enfants. Les enfants apprennent des grands-parents, de la génération précédente.
  • Chères familles, vous aussi vous faites partie du peuple de Dieu. Marchez dans la joie, ensemble avec ce peuple. Demeurez toujours unies à Jésus et portez-le à tous par votre témoignage. Je vous remercie d’être venues. Ensemble, faisons nôtres les paroles de saint Pierre, qui nous donnent la force, et nous donneront la force dans les moments difficiles : « Seigneur, vers qui pourrions-nous aller ? Tu as les paroles de la vie éternelle » (Jn 6, 68). Avec la grâce du Christ, vivez la joie de la foi ! Que le Seigneur vous bénisse et que Marie, notre Mère, vous protège et vous accompagne. Merci !

Homélie du pape François le dimanche 27 octobre

  • Les lectures de ce dimanche nous invitent à méditer sur quelques caractéristiques fondamentales de la famille chrétienne.
  • 1. La première : la famille qui prie. Le passage de l’Évangile met en évidence deux façons de prier, une qui est fausse – celle du pharisien - et l’autre qui est authentique – celle du publicain. Le pharisien incarne un comportement qui n’exprime pas l’action de grâce à Dieu pour ses bienfaits et sa miséricorde, mais plutôt l’autosatisfaction. Le pharisien se sent juste, il se sent correct, il se rengorge de cela et il juge les autres du haut de son piédestal. Le publicain, au contraire, ne multiplie pas les paroles. Sa prière est humble, modeste, empreinte de la conscience de son indignité, de ses misères : cet homme vraiment admet qu’il a besoin du pardon de Dieu, de la miséricorde de Dieu.
  • La prière du publicain est celle du pauvre, c’est la prière qui plaît à Dieu et, comme le dit la première Lecture, qui « parvient jusqu’au ciel » (Sir 35, 20), alors que celle du pharisien est alourdie par le poids de la vanité.
  • À la lumière de cette Parole, je voudrais vous demander, chères familles : priez-vous parfois en famille ? Quelqu’un oui, je le sais. Mais beaucoup me disent : mais comment on fait ? Mais, on fait comme le publicain, c’est clair : humblement, devant Dieu. Que chacun, avec humilité, se laisse regarder par le Seigneur et demande sa bonté, pour qu’elle vienne à nous. Mais, en famille, comment on fait ? Parce que la prière semble être une affaire personnelle, et puis il n’y a jamais un moment favorable, tranquille, en famille… Oui, c’est vrai, mais c’est aussi une question d’humilité, de reconnaître que nous avons besoin de Dieu, comme le publicain ! Et toutes les familles ! Nous avons besoin de Dieu : tous, tous ! Nous avons besoin de son aide, de sa force, de sa bénédiction, de sa miséricorde, de son pardon. Et il faut de la simplicité : prier en famille, il faut de la simplicité ! Prier ensemble le « Notre Père », autour de la table, n’est pas quelque chose d’extraordinaire : c’est facile. Et prier le Rosaire ensemble, en famille, c’est très beau, ça donne beaucoup de force ! Et aussi prier les uns pour les autres : l’époux pour l’épouse, l’épouse pour l’époux, tous les deux pour les enfants, les enfants pour les parents, pour les grands-parents… Prier les uns pour les autres. C’est prier en famille, et cela renforce la famille : la prière !
  • 2. La deuxième Lecture nous suggère un autre point : la famille garde la foi. L’apôtre Paul, au déclin de sa vie, fait un bilan fondamental, et dit : « J’ai gardé la foi » (2 Tm 4, 7). Mais comment l’a-t-il gardée ? Pas dans un coffre-fort ! Il ne l’a pas enfouie dans la terre, comme ce serviteur un peu paresseux. Saint Paul compare sa vie à un combat et à une course. Il a gardé la foi parce qu’il ne s’est pas contenté de la défendre, mais il l’a annoncée, diffusée, il l’a portée loin. Il s’est fermement opposé à ceux qui voulaient conserver, « fossiliser » le message du Christ dans les limites de la Palestine. C’est pourquoi il a fait des choix courageux, il s’est rendu dans des territoires hostiles, il s’est laissé provoquer par ceux qui sont loin, par diverses cultures, il a parlé franchement, sans peur. Saint Paul a conservé la foi, car, comme il l’a reçue, il l’a donnée, en allant dans les périphéries, sans se retrancher dans des positions défensives.
  • Ici aussi, nous pouvons nous demander : de quelle façon nous, en famille, nous gardons notre foi ? La retenons-nous pour nous, dans notre famille, comme un bien privé, comme un compte en banque, ou savons-nous la partager par le témoignage, l’accueil, et l’ouverture aux autres ? Tous nous savons que les familles, en particulier celles qui sont jeunes, sont souvent « pressées », très affairées ; mais parfois pensez-vous que cette « course » peut aussi être la course de la foi ? Les familles chrétiennes sont des familles missionnaires. Mais, hier nous avons écouté, ici, sur cette place, le témoignage de familles missionnaires. Elles sont missionnaires aussi dans la vie de chaque jour, en faisant les choses de tous les jours, en mettant en tout le sel et le levain de la foi ! Garder la foi en famille et mettre le sel et le levain de la foi dans les choses de tous les jours.
  • 3. Et nous tirons un troisième aspect de la Parole de Dieu : La famille qui vit la joie. Dans le Psaume responsorial on trouve cette expression : « Que les pauvres entendent et soient en fête » (33/34,3). Tout ce Psaume est une hymne au Seigneur, source de joie et de paix. Et quelle est la raison de cette joie ? Ceci : le Seigneur est proche, il écoute le cri des humbles et les délivre du mal. Saint Paul l’écrivait aussi : « Soyez toujours dans la joie… le Seigneur est proche » (Ph 4, 4-5). Eh… il me plairait de poser une question, aujourd’hui. Mais, que chacun la porte dans son cœur, chez soi, eh ?, comme un devoir à faire. Et on répond seul. Comment va la joie, chez toi ? Comment va la joie dans ta famille ? Eh, donnez la réponse.
  • Chères familles, vous le savez bien : la vraie joie que l’on goûte en famille n’est pas quelque chose de superficiel, elle ne vient pas des choses, des circonstances favorables… La vraie joie vient d’une harmonie profonde entre les personnes, que tout le monde ressent en son cœur, et qui nous fait sentir la beauté d’être ensemble, de nous soutenir mutuellement sur le chemin de la vie. Mais à la base de ce sentiment de joie profonde, il y a la présence de Dieu, la présence de Dieu dans la famille, il y a son amour accueillant, miséricordieux, respectueux envers tout le monde. Et surtout, un amour patient : la patience est une vertu de Dieu et elle nous enseigne, en famille, à avoir cet amour patient, l’un envers l’autre. Avoir de la patience entre nous. Amour patient. Seul Dieu sait créer l’harmonie des différences. S’il manque l’amour de Dieu, la famille aussi perd son harmonie, les individualismes prévalent, et la joie s’éteint. En revanche, la famille qui vit la joie de la foi la communique spontanément, elle est sel de la terre et lumière du monde, elle est levain pour toute la société.
  • Chères familles, vivez toujours avec foi et simplicité, comme la sainte famille de Nazareth. La joie et la paix du Seigneur soit toujours avec vous !

Prière à la Sainte Famille

Jésus, Marie et Joseph,
vers vous, Sainte Famille de Nazareth,
aujourd’hui nous tournons le regard
avec admiration et confiance ;
en vous nous contemplons
la beauté de la communion dans l’amour véritable ;
à vous nous confions toutes nos familles,
afin que se renouvellent en elles les merveilles de la grâce.
Sainte Famille de Nazareth,
école séduisante du saint Évangile :
apprends-nous à imiter tes vertus
avec une sage discipline spirituelle,
donne-nous un regard limpide
qui sache reconnaître l’oeuvre de la Providence 
dans les réalités quotidiennes de la vie.

Sainte Famille de Nazareth,
gardienne fidèle du mystère du salut :
fais renaître en nous l’estime du silence,
rends nos familles cénacles de prière,
et transforme-les en de petites églises domestiques,
renouvelle le désir de la sainteté,
soutiens la noble peine du travail, de l’éducation,
de l’écoute, de la compréhension réciproque et du pardon.

Sainte Famille de Nazareth,
réveille dans notre société la conscience
du caractère sacré et inviolable de la famille,
bien inestimable et irremplaçable.
Que chaque famille soit une demeure accueillante de bonté et de paix 
pour les enfants et pour les personnes âgées
pour qui est malade et seul,
pour qui est pauvre et dans le besoin.
Jésus, Marie et Joseph,
nous vous prions avec confiance, nous nous remettons à vous avec joie.

1 réaction


11 novembre 2013 21:24, par benedicte

Rome comme si on y était....merci de nous faire partager ces belles photos ensoleillées et ces belles paroles du Pape pour nos familles !

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