- "Il faut trouver la porte étroite qui nous amène à aimer notre fragilité, à faire le pacte de la béatitude de la douceur, à ne pas se défendre lorsque l’on prend conscience de sa faiblesse.
- Accepter de lutter contre le besoin subtil de se complaire en soi-même ou en son oeuvre.
- Toutes les autres forces peuvent se perdre.
- Il y a une chose qui ne se perd jamais dans une vie d’homme, c’est sa blessure.
- Une seule chose qui ne s’oublie jamais, c’est sa fragilité, son infirmité.
- L’amour du Christ ne nous rend pas plus forts, mais plus faibles, faibles de cette faiblesse qui est plus forte que toutes les autres forces, celle de dépendre d’un autre pour vivre."
- Père Bernard Bro