Victor Hugo écrit dans les Misérables :
« Jean Valjean sentait que le pardon de ce prêtre était le plus grand assaut et la plus formidable attaque dont il eût encore été ébranlé ; que son endurcissement serait définitif s’il résistait à cette clémence ; que s’il cédait, il faudrait renoncer à cette haine dont les actions des autres hommes avait rempli son âme ; qu’il fallait vaincre ou être vaincu, et que la lutte, une lutte colossale était engagé entre sa méchanceté à lui et la bonté de cet homme. »
Confessions après confessions, il n’y a rien de plus grand, de plus profond, de plus inouï et de plus joyeux que de recevoir le pardon de Dieu et la grâce pour demeurer son enfant bien-aimé !
Confesser ne lasse jamais le prêtre ...